Agen / Paris

Le staff parisien a communiqué mardi sur le site officiel du club le groupe pour le déplacement à Agen samedi (26eme et dernière journée du Top 14). David Auradou effectue son retour après son opération à une épaule en mars. Retours également de Brian Liebenberg, Antoine Burban, Damien Weber et Pedro Ledesma. Pieter De Villiers, blessé à un mollet, est forfait. Les frères Bergamasco sont également laissés au repos dans l’optique de la demi-finale.

Avants : Roncero - Ledesma - Weber - Kayser - Blin - James - Auradou - Samo - Martin - Burban - Parisse - Rabadan

Arrières : Pichot - Fillol - Skrela - Arias - Saubade - Liebenberg - Glas - Jeanjean - Corleto - Hernandez

Henry Broncan, l'entraîneur agenais, a communiqué un groupe de 28 joeuurs pour affronter le Stade Français samedi pour le dernier match (capital) de la saison. Mathieu Barrau, touché en début de semaine, sera absent. Socol et Miquel sont également blessés.

Agen : Van Niekerk, Sore, Galasso, Cabarry, Guinazu, Narjissi, Tiatia, Stoltz (W.), Koulemine, Badenhorst, Lièvremont, Culine, Som, Yukes, Ostiglia, Fonua, Soucaze, Morlaes, Carabignac, Gelez, Stoltz (C.), Lafforgue, Vainqueur, Caucaunibuca, Ahotaeiloa, Mignardi, Mirande, Elhorga.

A l’issue de la rencontre perdue par Agen devant le Stade Français (5-18), une défaite synonyme de relégation, Daniel Dubroca ne pouvait masquer sa déception. « Ce match, c’est le reflet de notre saison », a lancé à chaud le président agenais.

Daniel Dubroca, président d’Agen, au micro de Canal Plus

On a manqué de réalisme à des moments importants. Parfois, il nous manquait quelques points pour recoller, mais on ne les a jamais passés. En première mi-temps, on a eu de belles occasions qu’on aurait du mettre. Mais, si le Stade Français a fait le match qu’il fallait, ce n’est pas notre cas. Aujourd’hui, il était écrit qu’Agen ne gagnerait pas. Je félicite les joueurs pour leur première mi-temps, ils se sont bien battus. Mais en seconde période, on ne s’est pas servi du vent, nous nous sommes mis sous pression. C’est le reflet de notre saison : beaucoup d’approximations et de laisser-aller.