John Smit

John Smit était à Clermont le week-end dernier. Le talonneur sud africain a ainsi pu visiter les installations du Parc des Sports Marcel Michelin et rencontrer de manière plus formelle le staff sportif. Premières impressions sur son nouveau club et regard sur la Coupe du Monde qu’il dispute avec les Springboks.



Quelles sont vos premières impressions à la visite de votre futur stade ?
John Smit : Cela va au-delà de mes espérances. Je ne pensais pas que tout était aussi bien situé, que tout était réuni en un même lieu : les vestiaires, les appareils de musculation, etc…

Appréhendez-vous votre intégration dans votre nouveau club ?

J.S. : La principale difficulté sera en terme de langue, mais j’ai l’intention d’apprendre le français le plus vite possible. Je dois aussi me calquer sur le rythme des coéquipiers, m’impliquer avec eux et avoir la volonté de bien faire.

Parlons Coupe du Monde… Que pensez-vous de l’entrée du XV de France dans la compétition ?
J
.S. : Je suis comme beaucoup interloqué par la défaite face à l’Argentine, même si la France avait perdu cinq de ses six dernières confrontations contre les Pumas. L’équipe de France a proposé un très bon rugby cette année mais a dû faire face à la passion et la motivation des Argentins. Cela dit, ce n’est pas la fin du monde pour les Français. Ils vont rebondir*.

Et les Springboks ?

J.S. : Je pense qu’on monte en puissance. On a une meilleure assise en mêlée, on a volume de jeu plus fluide. Cela fait quatre ans que l’on travaille pour ce tournoi. Beaucoup d’équipes peuvent aller au bout et si on a le bonheur d’y être, on fera tout pour l’emporter.